« (…) Cette restauration est ainsi exemplaire car, plutôt que d’éclaircir un film et d’y mettre de l’ordre, elle l’introduit au contraire dans son propre trouble, restitue sa complexité, comme si, en définitive, la caméra explorait l’esprit fiévreux d’un jeune homme en proie aux doutes, Jean Vigo, mort à vingt-neuf ans le 5 octobre 1934. […]